16/10/2024 :: U15 F : un vrai combat !

Pour cette 4ème et dernière journée de championnat avant la mi-trêve automnale, les Vertes se rendaient à St Trivier-sur-Moignans ce samedi après-midi et s’inclinent contre Dombes-Bresse sur le score de 7 à 2 (5-1 à la MT).

Avec 10 buts encaissés pour 2 défaites et une victoire avant ce match, Dombes-Bresse nous apparaissait comme un adversaire d’un niveau équivalent au notre et donc à notre portée. Et pourtant, nous allons vite nous rendre compte que cette équipe est plus redoutable que nous l’imaginions. D’ailleurs, nous sommes dès le début du match cueillis à froid puisque nous encaissons un premier but dès leur première offensive puis un deuxième à peine quelques minutes plus tard.  Notre défense a du mal à contenir les assauts des rapides attaquantes chatillonnaises et le combat physique, que cette équipe nous impose, nous empêche de développer notre jeu. Nous regagnons les vestiaires avec un retard de 5 buts à 1. Nous scorons par l’intermédiaire de Lucie qui s’y reprend à 2 fois devant la gardienne pour marquer.

La deuxième mi-temps est de bien meilleure qualité de notre part et les filles ont compris que pour rivaliser contre Dombes Bresse, il fallait élever son niveau technique et s’imposer davantage dans l’impact physique. Les efforts conséquents déployés par nos Vertes sont payants car si nos actions offensives sont encore très timides, notre organisation défensive en revanche est plus ordonnée et structurée. Finalement, nous perdons cette seconde période seulement 2-1. But marqué par Mia sur pénalty. 

La défaite est forcément amère pour nos joueuses mais nous avons assisté à un match très vivant avec 22 filles qui sont véritablement allées puiser dans leurs ressources physiques pour nous proposer un beau spectacle. D’ailleurs, le public de St Trivier ne s’y est pas trompé si l’on en croit la haie d’honneur qu’il nous a réservé à la fin du match. 

Philippe

Article proposé le 16/10/2024 à 21h51 par Philippe PITRE
Autorisé à la publication le 17/10/2024 à 09h19 par Aurélie REVOL